25 auteurs et créateurs vous parlent d'amour...
EDIT du 28/01/2018 : La note de blog qui suit date de 2013, pour tout ceux qui souhaiteraient participer cette année : merci de m'envoyer vos créations (textes, dessins, sculptures, photos...) à cette adresse : thais.aubert[at]hotmail.fr en précisant en objet "St Valentin 2018" + votre nom, et ce, avant le 13 février/midi. Toutes les créations seront affichées le 14 sur ce blog.
Merci d'avance à tous les participants :)
Ayant lancée mon idée de regroupement d'oeuvres sur l'amour un peu tardivement cette année, je ne m'attendais pas à avoir autant de participations que l'année dernière, 24 auteurs et créateurs ont pourtant répondu présent !
Merci à tous pour votre engouement ! Vos textes et créations sont un vrai plaisir pour les yeux.
Amis visiteurs, je vous laisse admirer ces merveilles et commenter si le coeur vous en dit. N'hésitez pas à visitez les liens de tous les participants pour découvrir d'avantage leurs univers respectifs.
Quand 25 créateurs de mots et d'images vous parlent d'amour :
On commence superbement avec Kathy Lecocq :
©2013, Kathy Lecocq
Son blog
Je craque totalement pour le texte de Mary-Ly Lau :
Ce jour, celui-là...
Un jour, une nuit.
Aujourd'hui
Je suis-là
A toi,
Rien qu'à toi...
Ce jour-là,
C'est le nôtre,
C'est pour toi,
Pas aux autres ;
Non, pas les autres...
Toi, rien que toi.
Vois en moi
Mes silences,
Mes regrets ;
Mes souffrances.
Mes non-dits,
Mes oublis,
Mes remords
Qui s'enfuient ;
Je souris.
Tu me lis,
Tu entends,
Tu saisis
Mes moments
De délits.
Ces moments
Où la vie
Me méprend,
Me renie
Complètement.
Avec toi,
C'est sans loi,
Avec foi
Que je prie
Ton amour
A ce jour.
Je te vois :
Cette envie
Qui me mord,
Qui me plie,
Qui me tord...
A toi, je cours.
Tu lis
Mon répit,
Mon amour
Pour la nuit.
Ce jour, cette vie,
Ivresse,
Ô folie !
Qui ne cesse,
Qui me lie.
Mon amour,
Mon envie,
Regard sourd
Fine pluie,
Cœur trop lourd.
Une peur.
Attirance.
La douleur
De l'errance.
Une crainte...
Te perdre.
Et demain ?
Et demain...
Une plainte.
Un chagrin.
La peur.
Destruction.
Aujourd'hui,
Lui dire non.
Je survis.
Je le dis,
Je le vis.
Le vouloir,
Et ce soir
Enfin, te dire oui !
©2013, Mary-Ly Lau
Son blog
La superbe sculpture de ma maman, Brigitte Arnaud :
©2013, Brigitte Arnaud
Son blog photo
Son blog créations
Valérie Valentin, mon tandem jeunesse 2012, s'amuse avec le tautogramme :
Adélie la chauve-souris chevelue veut trouver un amoureux
C hauve-souris Chevelue cherchait chéri cérébral
E chevelée, elle errait, élégante en étole écrue et émeraude
« C her Cousin Corniaud, conseille cette cabotine cajoleuse »
I ntima Ikebana, insecte insouciant
« N e nous noie nullement notre néogothique nana naïve
E n élucubrations, Epagneul, elle est écartelée entre émois, ébats et élans ébouriffés »
S emie-Souris, si sensible, scrute sur son sentier si sa sœur-âme sort soudain
T ortue ? trop tordue, tu tournes, toupie tourmentée, ton tourbillon te terrasse tête-bêche
P oney ? pas possible pour papillonner par-delà prudes pervenches pas pimbêches,
Alligator ? Alligator aime accras aux abattis à l’aïoli, aïe, aïe, aïe
Serpent ? son sifflement susceptible sidère sans séduire
U n ultramarin ? un Urugayen ? un ultramondain ?
N on, nenni, nada, non, niet, nein ! nos noces noctambules notifieront nos nombreuses naissances
T aupe ? ton terrier trop terne te tracasse, trop tranquille, tout transport te terrifie
A beille ? authentique amie admet Adélie ; abominable amoureuse ajoute Adélie
U bu ? une union unique, utérinera(1) un usufruit utopique
T atou ? Trop tatillon ton truculent troubadour tatoué !
O ursin ? ou Ousititi ? Ou otarie ? Ou oppossun ? Ou ornithorinque ? ouille ouille ouille !
G irafe ? gigantesque gabarit, girouette géniale, galope gentiment !
R enard ? Rouquin rusé rode rêvant recette rôtie !
A nnonce ? « amoureuse aérienne attend amoureux attendri »
M eetic ? magique martingale murmure mes monts-merveilles ?
M ariage mirobolant, marmaille médusée, métissage magnifique
E ternelle énamourée, émet épuisé Epagneul en éternuant (élégamment)
(1) entériner détourné en utériner
©2013, Valérie Valentin
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Audie et ses mignonneries vous offre un mignon petit jeu :
©2013, Aude Menut
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Du rose pour la talentueuse Loli :
©2013, Laurence Dechassey
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Gaëlle K. Kempeneers nous offre le premier chapitre d'un roman prometteur :
1. La ronde des bisous
Demain, elle se cherchera un namoureux !
©2013, Gaëlle K. Kempeneers
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Athinae nous propose un joli clin d'oeil à l'actualité :
©2013, Athinae
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Vous aussi fondez devant le texte de Marie Wilmer :
Cœur de clémentine
Mon tit cœur tout mou dans son cocon fait des feux d’artifices.
À sa vue, il me fait courir sur un nuage, heureux, léger !
Chaque jour est à croquer comme un petit raisin doux et sucré.
À ses côtés.
Je franchis des sommets, je m’envole tout en haut de l’Himalaya.
Je ne suis plus tout à fait moi.
Je ne sais plus trop qui je suis.
Ça tambourine, ça tintamarre, ça carillonne, ça bourdonne, ça fanfaronne, ça cabriole !
Mon petit cœur tout mou dans son cocon court à vitesse grand V.
Je formule 1, nous formons 1.
Doucement comme de fines épluchures, il enlève mes peurs.
Me révèle, me fait revivre.
Moi et mon tit cœur de clémentine.
Doucement comme de fines épluchures, il fait disparaître mes frayeurs.
Lui, Moi, Nous et mon tit cœur de clémentine.
Deux iles perdues dans l’immensité.
Deux « il » qui du haut de nos tits cœurs de clémentine croquons l’Amour à grandes dents.
Passionnément.
©2013, Marie Wilmer
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Un joli tête à tête pour Kikoum :
L'amour à la belle étoile chez Nicola Newlands :
©2013, N. Newlands
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Si je n'avais pas tant de projets en cours, je céderais facilement au texte de Zibulline :
Les doigts écorchés enserrent le mur parsemé de lierre
Les pierres de l’édifice cachent pour le moins un mystère
Les enfants de l’autre côté sont d’un autre monde
Leur cœur est écrasé, leurs silhouettes se confondent
Malo est là depuis que ses yeux se sont posés sur elle.
Elle qui parle avec de grands signes gracieux,
Ses gestes sont lents et ses mains enjouées
Elle apporte à Malo le soleil de ses journées
Au fond de ses yeux verts, Malo a vu une éclaircie
Et un petit quelque chose qu’il ne peut expliquer
Une souffrance trop grande pour une fille si jolie
Une blessure trop profonde que Malo rêve de tuer.
Alors Malo est là par pluie ou par beau temps
A attendre sur ce mur, à meubler ses journées
Jour après jour à la regarder attendant patiemment
Que ses mains daignent enfin se poser
Ce mur est à Malo une cachette, et ses doigts
connaissent chaque trou, chaque fissure, chaque endroit
Du mur de pierre, des yeux verts et de ces enfants
Qui vivent dans l’ombre de la peur des grands
Les yeux de Malo ne se ferment plus eux,
Depuis plusieurs jour, depuis qu’il s’est dit
Qu’il s’élancerais, enfin heureux
De lui avouer qu’elle était sa vie
Et ce jour là, encore une fois il pleut,
Les doigts avec espoir accrochent les pierres,
Sa voix s’écorche plus qu’il ne le veut
Et annonce en tremblant son Amour aux yeux verts
Mais la demoiselle tourne le regard,
La blessure revient au fond des yeux
S’excusant pourtant d’être autre part
Quand Malo rêve juste d’être eux deux
Mais le lendemain revient et sans paroles
De ses mains donne à sa copie une nouvelles forme
La transforme en avion et sous les yeux verts,
Fait s’envoler son Amour qui s’écrase à terre
L’avion déplié cache en secret
Ce que renferme un cœur naufragé
Et la plus jolie façon pour lui de l’avouer
Un dessin en rouge, un cœur, à la craie tracé
Les yeux verts sur lui sont posés,
L’avion est tombé face contre le pavé,
Un timide sourire s’étire soudain
Il est devant elle, il lui tend la main
Remontant sa main du ventre vers le coeur
Elle approcha ses lèvres de Malo rêveur
Lui faisant comprendre que dans un monde muet
Parler est un art autant que celui d’aimer
Elle refusa d’être muette. Pour lui.
Et dessina du bout de ses mains. Sa vie.
Il va les échanger coûte que coûte ses blessures
©2013, Zibulline
Ce texte est ouvert au binôme
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Un joli parc, du vent, un banc, il y a de l'amour dans l'air chez Grenille... :
©2013, Grenille
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Les nuages de Lam sont pleins de tendresse:
©2013, Lucie Mouniapin
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C'est avec son propre coeur que Blablabla nous conte l'histoire d'un vieil homme :
LE CŒURDONNIER
C’était une boutique de mon quartier
Dans une petite rue mal éclairée
Elle était pourtant très fréquentée
Ouverte toute la journée
Toujours des clients dans l’entrée
De tout le pays, ils venaient
Pour se faire réparer
Dans la boutique de mon quartier
Un vieil homme travaillait
Du matin au soir sans s’arrêter
Il travaillait l’air concentré
Il rafistolait et raccommodait
Il retapait, ravaudait, rapiéçait
On l’appelait le cœurdonnier
Toute la journée, il recevait
Des cœurs malmenés, des cœurs brisés
Des cœurs malades et des cœurs gelés
Des cœurs qui avaient trop pleuré
Trop donné, trop hurlé
Des cœurs battus, des cœurs brimés
Des cœurs abattus d’avoir trop aimé
Il était docteur le cœurdonnier
Et infirmière et couturier
Maman aussi. Et parfois même curé
Tous ces cœurs, il les soignait
Il les réchauffait, les dorlotait
Il les écoutait, les cajolait
C’était son métier au cœurdonnier
Tous les jours dans son atelier
Il coupait et ensemble cousait
Des fils de tendresse et d’amitié
Il suturait et assemblait
Des pièces de confiance et de paix
Il laçait l’amour et la gaieté
Sur tous ces cœurs fatigués
C’était son métier au cœurdonnier
Et son métier, il l’aimait
Il aimait voir des sourires se dessiner
Sur les visages de ses clients épuisés
Il aimait les observer
Voir la sérénité qui renaissait
Dans leurs yeux tourmentés
Quand un cœur enfin soigné repartait
Le vieil homme retournait dans l’atelier
Il prenait un cœur qui patientait
Et en sifflotant il recommençait
A rafistoler et raccommoder
A retaper, ravauder, rapiécer
C’était son métier au cœurdonnier
Dans la boutique de mon quartier
Dans une rue mal éclairée
Le vieil homme travaillait sans arrêt
Il redonnait du courage aux découragés
Et de l’espoir aux désespérés
C’était son métier au cœurdonnier
C’était son métier au cœurdonnier
©2013, Blablabla
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Julie Lecomte dans une mini BD pleine de douceur, l'amour ce n'est pas que pour les grands :
©2013, Julie Lecomte
Cette illustration est ouverte au binôme
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"L'amour nous libère" n'est-ce pas là un beau message que nous offre Osca Papillune :
©2013, Osca Papillune
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Difficile de ne pas se retrouver dans la définition de l'amour que nous fait Maminou :
L’Amour c’est avoir besoin de l’autre pour se sentir bien,c’est se comprendre à demi mot,c’est ne pas toujours être d’accord mais savoir discuter, et accepter ce que l’autre pense.
L’Amour c’est trouver une personne qui fait que la vie est plus douce,c’est tout partager ,sans secret, ni tabou ;c’est se faire confiance,accepter que l’autre ai des passions différentes et c’est être heureux de se retrouver après.
L’Amour, c’est se tenir la main devant la maladie,les problèmes et les soucis du quotidien.c’est soutenir l’autre et accepter que l’autre nous soutienne.L’Amour c’est accepter l’autre tel qu’il est,ses saute d’humeur et ses baisses de moral.C’est râler de ses défauts et l’aimer pour ses défauts.
L’Amour c’est regarder dans la même direction,être heureux du succès de l’autre,et se battre lorsqu’il y a des faiblesses.
L’Amour ,c’est ne jamais croire que tout est gagné, et savoir par petite touche mettre de la couleur sur le tableau que l’on peint.
L’Amour c’est construire ensemble un nouveau mode de vie.Faire des compromissions tout en sachant s’affirmer.
L’Amour,c’est, après des années, continuer à prendre des fous rires ensembles,oublier que le temps à passé et jouer comme deux enfants dans une cour d’école.Se regarder toujours avec le regard des premiers jours,plein de tendresse et d’admiration.Trouver qu’aucune personne ne lui arrive à la cheville.
Et puis,l’Amour, c’est ne plus pouvoir imaginer la vie l’un sans l’autre,sans cette complicité ,cette écoute,et espérer de toute ses forces que le grand sablier de la vie ne s'écoule pas trop vite.
©2013, Maminou
Texte ouvert au binôme
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Magali Garot et ses doux renards amoureux ♥ :
©2013, Magali Garot
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Une belle déclaration d'amour mais aussi de confiance et la tendre photo qui l'accompagne par Carmen Pennarun Boucher :
Mariage
C’est il y a trente quatre ans que notre enfant a vu le jour
Pour nous il était Prince dans la maison
Nous l’appelions notre petit loup
Tendrement, nous l’avons protégé. Lui, attendait un appel…
Non, pas l’appel de la forêt toute proche,
mais celui bien plus vaste à l’échelle de l’univers.
Était-ce déjà l’Amour ?
Celui dont on ne mesure pas l’étendue,
même si on sait très bien où il a commencé ?
L’amour trace son chemin dans le cœur de chacun.
Jeune, on s’y promène seul en rêvant à l’âme sœur.
Un jour, on s’aperçoit que deux sentiers fusionnent.
À nos côtés, une présence suit notre propre trajectoire.
Avec elle, c’est l’évidence, nos natures s’accordent
et la vie, enfin, paraît plus souriante.
L’amour est cette présence espérée
qui comble l’absence ignorée.
En silence, il murmurait un nom : Kristin
L’amour ne choisit ni le temps ni l’espace pour se poser
Il ne se cherche pas il se trouve dans le courant… de la vie
Aimer, serait-ce déjà un désir de partir ?
Ce désir d’aller de l’avant qui te poussait enfant
à poser des Pourquoi, à imaginer les réponses
en attendant de pouvoir les vérifier par toi-même
Les difficultés des départs jamais n’ont découragé ta marche
vers des horizons nouveaux et des découvertes passionnantes.
Oui
Il a bien fallu que tu partes, et nos bras, progressivement,
ont desserré leur étreinte, se sont ouverts à cette vie
que tu devais construire en l’imaginant, pas à pas.
Kingston t’attendait et rien ne pouvait arrêter cet envol
ni l’amour de la famille, ni les menaces de pandémie
car d’autres bras se levaient – les rameaux de ton futur.
Aimer c’est bâtir un avenir à deux
un avenir qu’un simple mot engage.
Oui
votre attachement s’est déjà forgé
au fil des années que vous avez vécues ensemble.
Le mariage est un refuge qui permet de voir plus loin.
Tel un phare, il éclaire l’océan de la vie
et guide sûrement ceux qui s’en approchent.
De ce promontoire, les jours espèrent
des époux un cœur ouvert
à la clémence et à l’amitié.
Oui
ce refuge est faisceau
il est flambeau
à l’avant de demain
et vos parents, à la lisière de ce serment,
vous abandonnent en confiance.
[lu à deux voix le 8 septembre 2012 à Emerson Inn – by the Sea - (Rockport, MA]
©2013, Carmen Pennarun Boucher
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Du rouge passion pour Julie Grugeaux :
©2013, Julie Grugeaux
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L'amour nous donne des ailes et Alias l'illustre à merveille :
©2013, Alias
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La petite phrase de Nessendyl se fait désirer en beauté :
Petite Phrase
Tous l’ont prononcé un jour, peut-être même sans faire attention.
Elle est dans les têtes, les vies... et sûrement les âmes.
Pourtant, elle reste plus ou moins parfaite selon la modulation,
Allant parfois même jusqu'à être fausse s’il n’y a pas le charme ;
Ce petit pétillement qui rit dans les yeux, cet hymne étrange.
Dans le cœur mais pas toujours dans la bouche, ces mots effraient,
Par leur dureté, leur condescendance. Alors on les range
Loin des yeux loin du cœur, pour ne pas se faire mal ou s’émanciper.
Mais pourquoi lutter quand la passion brûle le corps ?
Et comment espérer une résurrection différente de ce que l’être souffle.
Il faut savoir voir les choses en face et les comprendre sans désaccord.
C’est facile à dire, mais à faire ? Les mots s’essoufflent,
Les yeux se fixent sans serment et ne peuvent plus se détacher,
A quoi bon lutter quand rien ne peut les séparer même une seconde.
La bouche forme une touche, les doigts hésitent, les tempes brûlent, le temps disparaît...
Et enfin les mots coulent avec fracas, plissant le front de crainte d’une réaction immonde.
Parfois la réaction est bonne, dans d’autre cas...
Alors on pleure sa bêtise et cette grande idiotie bien à soi.
Les portes claquent, les objets explosent, les soupirs augmentent avec fracas.
Et dans cette mélancolie indéfendable, on se plaint, restant à crever sous son toit.
Mais lorsque la réaction est toute différente et que l’âme voisine répond à l’invitation,
On peut hurler sa joie et l’envoyer au ciel fidèle dans une danse folle.
Les tensions s’évanouissent alors, prononçant dans leur grandeur de douces innovations.
Les mains s’unissent, les pieds décollent du sol, formant dans l’air une étrange farandole.
Cette petite phrase tous la connaissent. Vous et moi,
Eux et même les plus incorrigibles travaillent son sens intact.
Ces mots infaillibles forment sur les poitrines une mystique croix.
Pourtant les avez-vous prononcé un jour ? Avez-vous perpétué cet acte ?
Une petite phrase, quelques mots simples, un murmure qui s’enfuit :
Je t’aime.
©2013, Nessendyl
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Du rafinement avec Alexandra Gabrielli Kuhn et son papier découpé :
©2013, Alexandra Gabrielli-Kuhn
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Et je clos le bal avec un petit croquis que j'avais prévu de mettre au propre et en couleurs pour l'occasion mais que je n'ai pas pu terminer par manque de temps :
Mais comme je voulais finir sur une touche de couleurs, je vous propose une photo de ces quelques créations dernièrement réalisées pour la boutique H2omme, dans laquelle j'expose actuellement (15 Grande rue de la Croix-Rousse - Lyon) :
©2013, Thaïs AUBERT
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J'espère que le voyage vous a plu ;)
A l'année prochaine !!
Si vous m'avez envoyé une participation et qu'elle n'apparait pas c'est que je ne l'ai pas trouvée dans mes mails ou alors que je vous ai oublié sans le vouloir, dans ce cas n'hésitez pas à me contacter, de même si une information est erronnée, j'apporterais les modifications necessaires. Merci